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4 août 2020 : (re)découvrons le "GDBRL" (un nom si compliqué pour une fonctionnalité si simple d'utilisation et pourtant si puissante...)

Les informaticiens 😖 ont souvent tendance à donner des noms compliqués à leurs réalisations, laissant penser à tort qu'elles sont complexes et difficiles à mettre en œuvre, alors que c'est parfois tout l'inverse. Voici un exemple typique, ressorti de derrière les fagots à l'occasion d'une formation Web-to-Print ("impression en ligne" pour nos cousins d'outre-Atlantique), récemment délivrée par west-digital.fr chez un acteur majeur de l'impression numérique et de la communication omnicanale, basé dans les Hauts-de-France.

Inutile de perdre du temps à décrypter ce que peut signifier "GDBRL" (c'est déjà assez difficile à prononcer) ; allez : puisque vous le demandez quand même : "Global DataBase Recipient List", autrement dit "Bases de données globales servant de listes de destinataires" - mais nous voilà bien avancés 😡

Pour comprendre les avantages substantiels apportés par cette fonctionnalité de StoreFlow, la plateforme d'impression en ligne de XMPie, il suffit de se mettre dans la peau d'une marque, qui souhaite déléguer la commande de communications personnalisées à ses bureaux, ses points de vente, ses revendeurs ou ses franchisés. Entendons-nous bien : tout cela est fait sous contrôle, de manière bordée, dans le strict respect de l'identité visuelle de la marque.

Dans un environnement de eCommerce qu'il maîtrise déjà (pour l'avoir maintes fois utilisé afin de commander des produits d'impression tels que des cartes de visites, des brochures, de la PLV ou de l'emballage - tous personnalisables grâce à XMPie !), l'utilisateur décentralisé peut commander des publipostages imprimés ou des campagnes de communication omnicanale, à partir de deux types de sources de données variables, qui vont permettre de personnaliser les messages à outrance, leur donnant plus d'impact pour les lecteurs, générant ainsi des taux de transformation exceptionnels :

• des données variables imposées par la marque (exemple : le bureau de Brive-la-Gaillarde n'aura à sa disposition que les prospects de Corrèze ; le franchisé d'Arlon ne verra que ses clients de la province de Luxembourg ; le revendeur de Nyon n'aura que certains contacts du canton de Vaud, etc.) ; toutes ces données ont donc été attribuées "en force" par la marque ; appelons cette approche l'approche... "paternaliste" : l'identité visuelle, le message et les données variables sont étroitement contrôlés en amont ; la seule liberté offerte à l'utilisateur décentralisé est... de commander, quand il veut (ou de ne jamais commander : c'est le risque, s'il trouve le carcan trop rigide)
• à l'opposé, les données variables peuvent provenir de fichiers Excel ou CSV, soumis dans l'application de WebToPrint XMPie par l'utilisateur décentralisé, qui a alors toute liberté - mais aussi toute responsabilité - de les sélectionner depuis son CRM (ou... son Excel), de les nettoyer, de respecter le RGPD, etc. ; disons que c'est une approche très "libertaire" - seuls l'identité visuelle et le message sont sous le contrôle de l'enseigne ; les données ne le sont pas, ce qui est très bien pour l'utilisateur (?) mais peut, dans une certaine mesure, poser des problèmes de principe à la marque ("à qui vont écrire mes franchisés ? " "Deux de mes bureaux ne vont-ils pas écrire à la même personne, créant ainsi une cacophonie - plutôt qu'un buzz - autour de ma marque ? ")

C'est là qu'intervient la magie de StoreFlow avec GDBRL, car cette fonction va réussir sans effort à satisfaire les deux parties :

• l'enseigne va mettre des données parfaitement formatées et vérifiées à la disposition de ses utilisateurs décentralisés, tout en les attribuant comme elle le souhaite à chaque utilisateur ou point de vente ; elle aura ainsi l'assurance qu'il n'y aura pas de guéguerre entre différents concessionnaires, tout en sachant que la liberté qu'elle accorde à chacun va doper leur créativité et leur envie de communiquer
• à travers une interface visuelle ergonomique et - limite - ludique, l'utilisateur décentralisé va pouvoir construire ses propres filtres, à partir de la liste totale qui lui a été attribuée par l'enseigne, attaquant ainsi la bonne cible au bon moment avec le bon message, pour un taux de transformation maximisé ; par exemple : diffuser une offre promotionnelle de changement de pneus à l'approche de l'hiver, à l'attention des possesseurs du bon modèle ; mettre en avant un nouveau bien immobilier à l'attention des personnes potentiellement intéressées ; promouvoir une nouvelle salle de séminaire dans un hôtel, à l'attention des entreprises à proximité ayant plus de X salariés

L'utilisateur évolue dans un environnement fluide : il peut tester en temps réel les communications personnalisées qu'il va envoyer et constater en temps réel l'impact que ses filtres "métier" auront sur la quantité de population ciblée, et sur le prix que va lui coûter son action marketing - prix qui, vu le taux de transformation, sera facilement mis en balance avec les gains obtenus ; que ce soit directement, par une croissance de l'activité et du chiffre d'affaire ; ou indirectement, par la fidélisation des clients et la notoriété renforcée de la marque et du point de vente.

Enfin, indispensable à l'ère de l'Internet moderne et mobile, où tous les professionnels ont aussi une vie numérique privée, avec l'habitude d'utiliser des sites et des applications très "léchés" : l'ergonomie du module GDBRL peut évoluer dynamiquement, pour mettre en valeur des catégories de destinataires répondant à des critères particuliers, avec des colorations ou des visuels très parlants...

Les secteurs d'activité qui vont naturellement être intéressés par cette fonctionnalité sont l'automobile, la banque et l'assurance, l'immobilier, la grande distribution. Sûr que nous en avons oubliés quelques uns, que vous avez certainement sur le bout de la langue...

Alors... envie d'en parler ? De tester ?